Quand on sait le budget et l’énergie qu’il faut déployer pour la mise en place d’un tel outil qu’est le serious game, on se doit de poser la question : pourquoi un service de l’Education Nationale s’est-il attaqué à ce vaste chantier ?
« La genèse de l’idée d’un jeu sérieux est venue de l’Université d’été de Ludovia que Stéphane Bois, conseiller pédagogique du Loiret, me représentant lors de cet événement, a visité en 2013. Il a rapporté dans ses bagages, de nouvelles idées sur les serious game, notamment après avoir eu de longues discussions avec Julian Alvarez, enseignant chercheur reconnu dans le domaine », explique Dominique Pichard.