Un enfant meurt chaque minute de la malaria.» Cette phrase n’est pas une accroche choc de la dernière campagne contre le paludisme, mais l’un des messages qui s’affichent sur l’écran lorsque l’héroïne échoue au niveau 6 du jeu vidéo «Nightmare: Malaria» («Cauchemar: malaria»), un «serious game» disponible sur tablettes et mobiles. Ces jeux dits «sérieux» présentent la particularité d’associer une approche ludique à une intention pédagogique, ou thérapeutique (voir infographie). Mais pas seulement.
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Variante de l'article sur Planète Santé